Le crépi de façade sert à la décoration. Il consiste en un enduit de finition qui a la particularité de donner à l’extérieur de votre maison un aspect raffiné et soigné. Il préserve par ailleurs le mur des agressions liées aux intempéries et à la pollution en plus de fournir une isolation phonique d’une très bonne qualité. Il constitue un budget complexe dont la détermination dépend de beaucoup de facteurs. Découvrez-en quelques-uns dans cet article.
Les travaux préparatoires
Il faut gérer quelques préalables pour votre crépi de façade avant de songer à l’appliquer. En effet, le crépi peut être appliqué sur tout type de support à l’exception des maisons en bois. Le support accueillant doit tout de même être exempt de toute imperfection un peu comme pour la peinture. C’est la raison pour laquelle, le façadier doit s’employer à refaire les joints et reboucher les trous contenus dans le support. Plus important encore, vous ne pouvez pas crépir un mur lorsque le temps est menaçant, le facteur météo est à prendre en compte. De plus, lorsque votre façade est nouvelle, vous devrez attendre au moins 30 jours avant d’entamer vos travaux de crépissage. Cela s’explique par le fait que les opérations de maçonnerie ont besoin de temps pour se fixer et sécher.
Les techniques utilisées
La technique la plus répandue dans le cadre du crépissage de maison est celle du crépi projeté. Cette opération se fait à l’aide d’une machine qui projette directement sur le support, le matériau crépissant. Pour vos économies, ce type de crépi est le plus avantageux en raison de son caractère accessible. En revanche, lorsque vous préférez un crépi taloché, vous devrez recourir aux services d’un maçon travaillant traditionnellement. Sa méthode consiste à projeter le crépi sur le support et de l’égaliser à l’aide d’une spatule. Cela prendra beaucoup plus de temps et vous reviendra donc, plus cher. Pour que le rendu soit uniforme, l’artisan ne devra pas étaler son intervention sur plus d’une séance.